Dans le centre-ville de Blois, cette demande est très difficile à satisfaire. Des biens qui se rapprochent de ces critères peuvent se rencontrer dans les quartiers Cabochon-Quiniere ou Vienne, par exemple. On atteint sans peine, dans ce cas, la barre des 250 000 euros. Des versions plus petites ou avec une pièce de moins sont aussi parfois proposées, aux alentours de 200 000 euros.
Mais, pour trouver l’archétype de ce bien familial, c’est évidemment en périphérie de la ville qu’il faut se rendre. Dans des secteurs du nord de l’agglomération, comme Villejoint par exemple, on trouvera des maisons de ce type, avec quelques travaux à prévoir, pour moins de 200 000 euros. A la Chaussée-Saint-Victor, on sera sur le même budget pour un pavillon sur sous-sol, comme on en construisait dans les années 70 et 80 et qui n’offre pas d’accès direct au jardin.
Si l’on accepte d’aller jusqu’à une vingtaine de minutes de trajet pour atteindre le centre de Blois, on pourra dénicher de belles maisons de ce type, avec de vrais terrains arborés, entre 180 et 220 000 euros. On visera alors des communes comme Chambon-sur-Cisse, Les Montils ou Chitenay, par exemple.
Dans un quartier pavillonnaire de Romorantin, ce type de maison se négocie autour de 180 000 euros. Dans des secteurs plus ruraux de la Sologne, à Mur-de-Sologne ou Millançay, cette maison familiale traditionnelle s’affiche souvent aux alentours de 150 000 euros.
La ville et le secteur de Vendôme sont très prisés du fait de la liaison directe en TGV avec la capitale. On y trouve pourtant des maisons familiales à des prix abordables. Notre maison type se négociera autour de 170 000 euros en ville, mais dans une version réduite (80 m2 environ). Aux alentours, pour le même prix, on aura plus d’espace et un jardin plus grand.
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