Le contexte économique et international actuel a parfois tendance à décourager les acquéreurs. Or, quand on regarde les choses de près, on se rend compte que les taux d’intérêt affichent une belle stabilité depuis le début de l’année 2025. Cela crée une situation assez favorable pour l’achat immobilier.
De nombreux primo-accédants reculent aussi en se disant qu’ils n’auront jamais les moyens d’acquérir un bien qui réponde à leurs besoins, ou qu’ils n’arriveront pas à obtenir de prêt bancaire. C’est dommage car, avec une étude sérieuse et l’aide d’un courtier, ils pourraient avoir de bonnes surprises, notamment dans le cas d’un achat dans le neuf. Quand on peut financer, par exemple, son projet avec un prêt à taux zéro (sous conditions de revenus notamment) et bénéficier de frais de notaires réduits ou même parfois offerts par le promoteur, cela peut vraiment changer la donne. N’oublions pas non plus que le courtier a un pouvoir de négociation, à la fois auprès des banques et, parfois, auprès des promoteurs.
Il en va de même dans le cadre d’un projet d’investissement locatif. Contrairement à ce que l’on croit parfois, ce type d’opération n’est pas réservé aux gros revenus. Avec un apport de quelques milliers d’euros, ce sont des opérations qui peuvent permettre de se constituer un capital en défiscalisant presque entièrement les revenus issus des loyers.
Alors bien sûr, l’apport d’un courtier engendre des coûts supplémentaires. Mais il faut rappeler que sa commission n’est due que quand le financement est bouclé et le prêt obtenu.
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